Dream Theater
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When Dream And Day Unite 1989 |
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Images And Words 1992 |
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8 titres 51'25'' |
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8 titres 57'09'' |
| Première formation de Dream Theater avec Charlie Dominici au chant, moins efficace que James LaBrie. On retiendra "A Fortune in Lies", "The Ytse Jam" et "The Killing Hand". | Marquant l'arrivée de James LaBrie, c'est pour moi le meilleur album. Il n'y a qu'à écouter les perfections musicales que sont "Pull Me Under", "Take The Time" et l'incontournable "Metropolis". Un album mythique ! | ||
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Awake 1994 |
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A Change Of
Seasons 1995 |
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11 titres 74'05'' |
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5 titres 57'33'' |
| Très bon album, maîtrisé, comme d'habitude. Plus heavy ("6:00", "The Mirror", "Lie") et moins mélodique que "Images and Words". Quelques bon moments calmes : "The Silent Man", "Space Dye Vest". | On commence avec le titre phare "A Change of Seasons" qui ne dure pas moins de 23 minutes et on continue avec une reprise d'Elton John, de Deep Purple, "Perfect Strangers" qui laisse la part belle au clavier, puis de Led Zep pour finir sur un medley de vieux tubes rock ("The Big Medley" avec le fameux "Bohemian Rhapsody" !) . Belles reprises ! | ||
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Falling Into
Infinity 1997 |
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Metropolis Part
2 : Scenes From a Memory 1999 |
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11 titres 78'20'' |
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12 titres 77'14'' |
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Plus accessible avec les slows "Take Away my Pain", "Anna Lee" et un autre digne de Sting, "Hollow Years". D'autres titres bien Dream : "New Millenium", "Lines in the Sand". |
Album conceptuel (un peu comme "The Wall") qui retrace une séance d'hypnose, il se présente comme un opéra métal en plusieurs actes. Assez différent des autres par la forme, ça reste du grand Dream Theater, considéré par certains comme le meilleur mais le moins accessible. Il faut se donner la peine d'écouter les paroles pour comprendre l'histoire. |
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